Le flan sud

Le dragon regarda le géant approcher et lorsque celui ci se rendit enfin compte de sa présence il attendit qu'il le salut. Car les rêgles de politesse exigeait de montrer un grand respect vis a vis des Dragons, encore plus si ils étaient millénaires! Ce qui était le cas de Ydrazapal.
Il vit donc dans l'attitude polie du géant qu'il pouvait lui adresser la parole sans que son rang en soi taché. Et glissa donc de sa cime et ouvrit les ailes en pleine chute pour planer a ras du sol jusqu'au géant pour se poser juste devant lui. Il planta ses yeux noir comme de l'encre dans ceux de son vis a vis et le toisa. Tout deux savait que c'était là le moment le plus critique. Si Ydrazapal inclinait le cou, alors ils pourraient parler. Sinon...
De longues secondes s'écoulèrent pendant lesquelles les yeux réduit a deux fentes ténébreuses ne cillèrent pas, puis enfin, lentement, très lentement, presque a regret, le dragon noir inclina la tête et salua poliment le géant.

Bienvenue en ces terres. Je suis Ydrazapal, Dragon Noir millénaire du Muspeilheim, élémentaire de feu. Et toi géant, qui est tu?

La présentation était officieuse et la voix rauque et sèche du dragon n'y aidais pas.

Tenshi ne bougea pas un instant. Il n'était pas un faible, et n'avait donc pas à baisser les yeux, mais le respect qu'il devait au dragon noir l'incita à garder son visage plein de compassion. S'il laissait le moindre semblant d'insolence, cela traduirait un défit. Il resta donc légèrement souriant, et parla clairement :

"Merci pour ton accueil, Dracosire."

Le géant des montagnes inclina légèrement la tête pour montrer sa gratitude. Ydrazapal avait devant lui un humanoïde de très grande taille, autrement dit un géant, qui inspirait plus de confiance et de sécurité que de crainte. Ses gestes étaient très souples, très fluides, contrairement à ceux des gens de son peuple. Il avait le corps très musclé, et on voyait par ses vêtements usés qu'il avait voyagé pendant très longtemps. Il ne portait ni arme, ni armure, et n'avait pas non plus de sac à dos.

Il se présenta selon les formes, d'une voix plus douce qu'on aurait pu l'imaginer venant d'une créature aussi imposante :

"Mon nom est Avalokiteshvara, le Deux-fois-né. Les miens me nommaient Tenshi. Je vivais non loin de cet endroit autrefois, et comme je ne suis pas venu ici depuis bien des années, je refaisais le tour des lieux, histoire de me rappeler les bons souvenirs."

Sa présentation faite, il devait attendre que Ydrazapal pose d'abord ses questions, s'il en avait. Ce serait ensuite à son tour de parler.

Ydrazapal esquissa un sourire léger qui aurais put être chaleureux si ses yeux serpentins n'était pas si froid. Il appréciait les effort du géant pour lui être des plus agréable. Cela faisait longtemps que quelqu'un ne l'avait pas traiter avec tant d'égard, égards qui lui était dut soit dit en passant. La formule Dracosire le fit redresser le cou en cigne tant la politesse lui faisait plaisir. Il remarqua cependant la légèrté de la tenue de Tenshi puis écouta avec attention son court récit. Une présentation impeccable ce dit t'il.

Il est capital de ne jamais oublier ses origines. Dit t'il Dit moi géant, d'ou donc te viens tu le surnom de deux fois née? Car chaque nom a une histoire, et elle en raconte long sur l'homme.

Demanda t'il ses yeux plus sombre que la plus noir des nuit ne relachant pas ceux de Tenshi.

Ydrazapal écouta la réponse du géant avec attention, comme le montrait ses yeux immobiles et fixés. Que le géant lui réponde aussi franchement lui plut, car la franchise était une qualité non négligeable en ces temps de trouble. Il écouta la question et ne voyant aucun inconvénient a y répondre il redressa le cou et parla.

Tu a tout a fait raison Tenshi le Deux-fois-né, la coutume veut que les dragons millénaires, ayant servit assez le monde, puisse se retirer dans un lieu tranquile et calme afin de vivre sur leurs seuls richesses, et parfois ce mut de ce fait en Gardien. Mais mon caractère ne se plit pas un tel hermitage, et de plus, les richesses du monde terrestre n'ont a mes yeux aucunes valeurs qui vaille la peine de mourrir d'ennuis dessus. Comme pour toi, mon peuple a accepté ma décision et me laisse donc voler librement par delà le monde. Et pour te dire ce qu je fait ici, et bien, j'observait, afin de décider de la route a prendre. Je n'ai aucun projets aussi m'appliquais'je a en trouver un.